Naomi Campbell est de retour à la une des journaux, mais pas pour avoir défilé sur le podium. Plus tôt en septembre, les gens ont accusé le mannequin emblématique de être louche envers Rihanna et Anna Wintour. Mais maintenant, il semblerait qu’elle aurait été impliquée dans des affaires louches avec des fonds de charité, selon la Commission britannique de charité.
Dans un rapport choquant publié jeudi, Campbell est accusée d’avoir « mal gouverné » et d’avoir « managé financièrement inadapté » en ce qui concerne son organisation à but lucratif Fashion for Relief. Elle a créé l’organisation en 2005 après l’ouragan Katrina à la Nouvelle Orléans. Elle est officiellement devenue une organisation à but lucratif en 2015 afin de collecter des fonds pour une myriade de problèmes humanitaires et environnementaux.
Pour être clair, Campbell ne dirige plus la FFR et agit en tant que fiduciaire. Pourtant, après une enquête de trois ans, la Commission a accusé Campbell et d’autres fiduciaires d’avoir « utilisé leur position au sein de l’organisation pour payer des vols coûteux, des séjours somptueux à l’hôtel et des cigarettes », selon PERSONNES. La Commission a également affirmé que Campbell et d’autres administrateurs avaient enfreint plusieurs règles énoncées dans les statuts de l’organisme de bienfaisance, notamment en ne rédigeant pas de procès-verbaux de réunions officielles et en effectuant des déplacements coûteux qui n’avaient rien à voir avec l’organisme de bienfaisance lui-même.
Autres conclusions de la Commission britannique sur les œuvres de bienfaisance :
L’enquête a révélé qu’entre avril 2016 et juillet 2022, seulement 8,5 % des dépenses globales de l’organisme de bienfaisance concernaient des subventions caritatives. L’enquête n’a trouvé aucune preuve que les administrateurs avaient examiné le modèle opérationnel de l’organisme de bienfaisance pour s’assurer que les méthodes de collecte de fonds étaient dans le meilleur intérêt de l’organisme et que les coûts étaient raisonnables par rapport aux revenus générés. Elle a également révélé que certaines dépenses de collecte de fonds de l’organisme de bienfaisance n’étaient pas raisonnables.
Le rapport affirme également que l’association à but non lucratif n’a pas réussi à gérer les accords de partenariat entre elle et deux autres organisations, à savoir Save the Children Fund et le Mayor’s Fund for London.
Comme l’a noté
l’AP après avoir été nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres de France jeudi, Campbell a répondu aux allégations en déclarant :« Je n’avais pas le contrôle de mon organisation caritative, j’ai confié le contrôle à un employeur légal. Nous menons une enquête pour savoir quoi et comment, tout ce que je fais et chaque centime que j’ai collecté vont à des œuvres caritatives. »
“I was not in control of my charity, I put the control in the hands of a legal employer. We are investigating to find out what and how, and everything I do and every penny I ever raised goes to charity,” she said.
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