Selon une note interne, le Ministère de la Justice des États-Unis a ordonné à sa division des droits civiques de mettre un terme à tout litige en cours issu de l’administration de l’ancien président Joe Biden. Le document, envoyé par Le nouveau chef de cabinet du département, Chad Mizelle, gèle toute activité au sein de la division qui traite des lois anti-discrimination, des lois qui affectent le plus les Noirs.
Selon Reuters, qui a examiné le mémo, il ordonne également à la division de ne poursuivre aucune nouvelle affaire ni d’accepter aucun règlement. En outre, il indique également que le ministère de la Justice peut réexaminer les règlements de l’administration Biden mais n’a pas précisé quand.
Cela peut éventuellement affecter un accord conclu avec Minneapolis plus tôt ce mois-ci, qui impose des réformes au sein du département de police de la ville. Après le meurtre de George Floyd par des policiers en 2020, les enquêteurs fédéraux ont découvert une tendance à la violation des droits civiques au sein du département.
Cela pourrait également avoir une incidence sur les réformes policières en cours à Louisville qui ont été annoncés en décembre. Après le meurtre de Breonna Taylor en 2020, les enquêteurs ont découvert un modèle de discrimination à l’encontre des résidents noirs de la part des forces de l’ordre locales.
Le mémo n’indique pas combien de temps durera le gel. Cependant, il ferme largement la division des droits civiques pendant au moins les premières semaines de l’administration Trump. Le candidat de Trump à la tête du département, Harmeet K. Dhillon, attend la confirmation du Sénat.
Selon Le Washington Post, la division des droits civils décide généralement au cas par cas des litiges à poursuivre contre l’ancienne administration.
Le ministère de la Justice a lancé une douzaine d’enquêtes sur les forces de l’ordre locales et étatiques pendant que Biden était à la Maison Blanche, et des conclusions ont été rendues dans neuf d’entre elles.
Trump a clairement indiqué lors de sa campagne qu’en tant que président, il n’utiliserait pas le pouvoir fédéral utilisé par Biden pour surveiller l’usage excessif de la force policière et la discrimination raciale.
Le président approuve également que les policiers utilisent des tactiques plus agressives, notamment le recours aux contrôles d’identité.
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