Cela fait un moment que nous n’avons pas vu ce qui se passe entre les autorités fédérales et Sean « Diddy » Combs dans leurs dossiers juridiques. Mais ce dernier développement promet d’être un coup dur pour Les efforts de Combs pour tenir les médias à l’écart de ses affaires.
Les avocats du magnat du rap ont déposé une requête auprès du tribunal fédéral demandant une ordonnance de bâillonnement soit imposée aux procureurs fédéraux en guise de soulagement face aux « fuites d’informations confidentielles, préjudiciables et fausses à la presse » du gouvernement. La demande indiquait que l’ordonnance empêcherait les procureurs de porter atteinte au droit de Combs à un procès équitable tout en imposant des restrictions à la défense pour qu’elle fasse de même, comme le montrent les documents judiciaires.
Pour le contexte, Les avocats de Combs ont déposé une requête plus tôt ce mois-ci, demandant une audience pour présenter des preuves sur l’accusation selon laquelle le ministère de la Sécurité intérieure aurait divulgué des informations aux médias séquence vidéo de Combs frappant violemment son ex-petite amie et chanteuse Cassandra « Cassie » Ventura dans le couloir d’un hôtel, selon des documents judiciaires.
En opposition à la motion, les procureurs ont déclaré vendredi qu’ils n’étaient pas d’accord avec le libellé de l’ordonnance proposée concernant OMS serait exactement lié par l’ordre, selon les documents judiciaires. La demande s’étend à n’importe lequel des agents des forces de l’ordre locales et fédérales ainsi que des responsables du DHS. Les procureurs ont déclaré que la demande était « manifestement trop large » les rendant responsables de pratiquement des milliers d’agents fédéraux, dont beaucoup n’ont même pas accès aux informations sur l’affaire. Les documents judiciaires montrent que les procureurs ont proposé leur propre proposition d’ordonnance de bâillonnement, beaucoup plus courte.
Les avocats de Combs ont quand même soumis leur version de l’ordonnance pour voir si le juge allait mordre à l’hameçon. Il ne l’a pas fait.
En fait, le juge du district sud de New York, Arun Subramanian, a statué contre les deux parties, refusant d’adopter l’une ou l’autre de leurs propositions d’ordonnance de bâillon dans leur intégralité. Au lieu de cela, le juge a adopté une ordonnance demandant aux deux parties de s’assurer que toute personne impliquée dans l’affaire ou l’enquête comprenne ce qu’elle peut ou ne peut pas divulguer. Il a également précisé qu’il n’avait constaté aucun acte répréhensible en ce qui concerne les accusations selon lesquelles des informations sur l’affaire avaient été divulguées.
Le lundi 16 septembre Le magnat du rap de 54 ans a été arrêté à Manhattan par les autorités fédérales. Son acte d’accusation a été rendu public le lendemain matin, révélant des accusations de conspiration de racket, de trafic sexuel et de transport interétatique à des fins de prostitution. L’arrestation de Combs a eu lieu environ six mois après les raids fédéraux. Il a plaidé non coupable des accusations et s’est vu refusé trois fois la liberté sous caution. Combs doit être jugé en mai 2025.
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