S’il y a une chose que Donald Trump sait faire, c’est énerver les Noirs. D’après ses commentaires sur les migrants « prendre des emplois pour les Noirs” lors de son débat de juin avec le président Joe Biden à ses accusations farfelues à l’encontre de la vice-présidente Kamala Harris qui est « devenue noire » à la Congrès de l’Association nationale des journalistes noirsÀ Chicago la semaine dernière, il sait vraiment comment nous mettre sur la touche.
Cette semaine, la succession du regretté auteur-compositeur-interprète Isaac Hayes lui adresse des critiques, qui accusent Trump d’avoir utilisé sans autorisation « Hold On I’m Coming », une chanson de 1966 qu’il a coécrite pour le duo R&B Sam & Dave, lors de son rassemblement du 3 août à Atlanta.
Le 3 août, le fils de Hayes, Isaac Hayes III publié sur Xtque la succession de son père intente une action en justice pour empêcher la campagne Trump d’utiliser la chanson classique, écrit :
« Une fois de plus, le domaine et la famille de @isaachayes N’A PAS approuvé l’utilisation de “Hold on I’m coming” écrite par Isaac Hayes et David Porter par Donald Trump ce soir à Atlanta.
Il a ajouté :
« Donald Trump représente le pire en matière d’honnêteté, d’intégrité et de classe et ne veut aucune association avec sa campagne de haine et de racisme. »
Bien que le message semble être assez clair : la succession de Hayes ne veut aucune association avec la campagne de Trump, ce n’est pas la première fois qu’elle doit le poursuivre pour avoir utilisé la chanson.
Dans un 2022 X post d’après le compte officiel d’Isaac Hayes, la famille a exprimé sa désapprobation du fait que Trump ait utilisé la chanson lors d’une convention de la NRA au Texas peu après la fusillade dévastatrice dans une école d’Uvalde tué deux enseignants et 19 étudiants.
« La succession et la famille d’Isaac Hayes n’ont PAS approuvé et n’approuveraient JAMAIS l’utilisation de “Hold on I’m coming” par Sam et Dave par Donald Trump lors de la convention de la NRA de ce week-end », ils ont écrit.
Mais Hayes n’est pas seul, Rihanna, Pharrell Williams et Adèle font partie des artistes qui ont interpellé Trump de cesser d’utiliser leur musique lors des rassemblements et événements de campagne.
On suppose qu’il devra s’en tenir à « YMCA »
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