On ne peut nier que la beauté et l’éclat de l’homme noir. Mais nous aurions une faute si nous ne reconnaissions pas que dans les années 1990, Dieu distribuait apparemment des cartes de qualité à une poignée de nos acteurs et musiciens noirs préférés. Nous serions également inauthentiques si nous n’exprimions pas notre colère et notre déception ultérieurse qu’à la révélation qu’Il avait apparemment arrêté de mettre en production ces types d’hommes de qualité dès la fin de cette décennie.
C’est dans cet esprit d’appréciation que nous avons estimé qu’il était approprié de faire une promenade tranquille pour regarder quelques-uns de nos idoles préférées des années 90 - d’hier et d’aujourd’hui - pour nous remémorer et prier pour que Dieu entende d’une manière ou d’une autre nos prières et recommence à rééditer ce genre de finesse.
Morris Chestnut, « Mon Roi du Chocolat pour Toujours ». Que ce soit la faute de « The Best Man », « Like Mike » ou « Reasonable Doubt » : dans tous les cas, Morris commet un péché en continuant à paraître de mieux en mieux à chaque projet et chaque année qui passe. Entre sa mélanine lisse et son sourire d’une blancheur aveuglante, personne n’est comparable à Chestnut. Il est le prototype.